Environnement



La protection de notre environnement est une priorité absolue pour l’association. Vous trouverez ci-dessous quelques ressources et liens utiles.

Rives

Alors que les jetées, les quais et les bateaux peuvent nous aider à jouir de notre lac, le développement de ses berges peut camoufler sa beauté naturelle et masquer l’apparence de son paysage. Soyons au courant
des lois provinciales et locales traitant du zonage des rives, désignées pour aider à sauvegarder l’harmonie entre le paysage et les rives naturelles, et conserver au plus bel attrait du lac Sinclair l’expression de sa beauté.

Maintenons et restaurons des bandes de végétation naturelle le long des rives non seulement pour rehausser la beauté du lac, mais aussi fournir abri et ombre aux poissons, à la vie sauvage et aux gens, ainsi qu’augmenter l’intimité, réduire les courses et le bruit.

Les billots et les branches créent d’excellents habitats aquatiques. Résistons à l’envie de nettoyer le rivage quand une tempête abandonne des débris de bois le long des rives. Contactons le bureau de zone avant de commencer tout projet de construction dans l’eau ou à proximité.

Toutes les structures, incluant les plates-formes, doivent être éloignées des bords de rivage, selon les règlements de zonage.

Suivons la règlementation concernant la coupe au bord des rives et la grandeur des lots, les installations sanitaires et les constructions.

Concevons des structures qui favorisent les paysages. Utilisons des couleurs naturelles et construisons seulement ce dont nous avons besoin.

Tirons profit de la roche naturelle ou de l’enrochement décoratif plutôt que des murs de soutènement et des palplanches pour prévenir l’érosion des berges ou mieux encore, protégeons la végétation naturelle.

Voici d’excellentes sources de références sur ce sujet:

Pour le détail des lois municipales concernant la protection des rives, visitons :
http://www.mamr.gouv.qc.ca

Du Ministère fédéral Pêches et Océans, < l’ABC des rivages> est disponible à :
http://www.dfo-mpo.gc.ca/regions/central/pub/shore-rivages-on/pdf/shore-rivages-on_f.pdf

De plus, un document très informatif, disponible en anglais et en français et traitant de la protection des lacs contre les algues bleu-vert, nous propose comment mieux aménager les berges et recommande des plantes aquatiques appropriées pour la réhabilitation de ces lieux. Cliquons ici pour plus de détails :
« La protection des lacs et des cours d’eau : Une nécessité pour combattre la prolifération des algues bleu-vert! Guide pour les résidents et les résidentes de l’Outaouais »

L’Association a une brochure produite par la Fédération interdisciplinaire de l’horticulture ornementale du Québec (FIHOQ) en collaboration avec l’Association québécoise des producteurs en pépinière. Intitulée « Je végétalise ma bande riveraine», elle peut être disponible gratuitement aux membres.

Il existe aussi une publication – soeur, un guide plus complet des plantes appropriées, incluant leur nom latin, français et anglais de chaque variété mentionnée et dont le texte est seulement en français. Il peut être emprunté à l’Association, ou commandé au coût de $10 chez FIHOQ à http://www.fihoq.qc.ca.

Quais

Voici deux ressources sur les quais règlementaires.

Du gouvernement du Québec, l’information sur la protection des rives et l’’installation des quais est disponible (en français seulement) à : http://www.mddep.gouv.qc.ca/eau/rives/fichestechniques.htm

Du Ministère des Pêches et Océans, « l’ABC des rivages » est la référence :
http://www.dfo-mpo.gc.ca/regions/central/pub/shore-rivages-on/pdf/shore-rivages-on_f.pdf

Installations septiques

Il y a des nouveaux règlements municipaux, basés sur la loi provinciale, concernant les installations septiques, et pour les propriétaires, des conseils très utiles quant à leurs obligations légales.

À partir de l’été 2010, la Municipalité de La Pêche a entrepris une inspection de tous les systèmes septiques de sa région, sa priorité étant le Lac Bernard et le Lac des Loups. Dans la région de La Pêche, la
règlementation exige que le vidange des fosses septiques de résidences permanentes se fasse à tous les deux ans, et celui des résidences saisonnières, à tous les quatre ans.

La Municipalité de La Pêche invite les propriétaires à contacter leur bureau – ou de faire connaître leurs inquiétudes à travers l’Association, selon leur préférence – s’ils observent ou détectent des odeurs nauséabondes qui peuvent indiquer un problème d’installation septique dans leur milieu, afin que la Municipalité puisse y remédier, tout en protégeant l’identité de la personne qui choisit de les contacter à cet effet. L’Association conseille vivement à ceux dont la propriété est située dans la Municipalité de Low d’agir, de faire aussi rapport à cette Municipalité.

À cause des moyens de traitement limités dans notre milieu, un problème de quotas existe actuellement pour les compagnies locales qui vidaient habituellement les fosses septiques autour du lac Sinclair; donc, n’attendons pas à la dernière minute pour nous informer sur la disponibilité d’une compagnie qui rend ce service.

Pour plus de détails sur ces règlements, cliquez sur le site approprié:

La Pêche : ( http://www.villelapeche.qc.ca) et leur document « Principales exigences pour l’émission d’un
permis de construction (résidence ou chalet) »

Low : http://www.lowquebec.ca ainsi que http://www.mrcvg.qc.ca/textes/mun-low

Des conseils techniques pour aider à suivre ces règlementations se trouvent à :
http://mddep.gouv.ca/eau/eauxusees

Des directives pour maintenir les installations septiques en bon état sont disponibles à :
« La protection des lacs et des cours d’eau : une nécessité pour combattre la prolifération des algues bleu-vert! Guide pour les résidents et les résidentes de l’Outaouais. ».

N.B.: Les responsables du programme de testage de l’eau de l’Association rapporteront à la Municipalité concernée, tout résultat qui affichera un taux inacceptablement élevé d’E-Coli.

Algues bleu-vert

Bien que le lac Sinclair demeure chanceux – jusqu’à date – d’éviter le problème d’algues dans ses eaux, les propriétaires doivent bien comprendre ce dont un lac a besoin pour être en santé, ce qui nécessite de prendre soin des lieux de transitions comme les marécages, de même ce qui a été appris au sujet des algues bleu-vert
et de leur impact sur les plans d’eau de l’Outaouais, afin que nous puissions utiliser des pratiques durables qui garderont ce problème à distance.

L’information est comprise dans le document suivant:
« La protection des lacs et des cours d’eau : Une nécessité pour combattre la prolifération des algues bleu-vert! Guide pour les résidents et les résidentes de l’Outaouais ».

La pêche

Au Ministère fédéral des Pêches et Océans, référez-vous à « L’ABC des poissons-appât » et à « L’ABC de l’habitat des poissons » http://www.dfo-mpo.gc.ca/regions/central/pub/habitat-on/index-fra.htm

La publication suivante présente les périodes autorisées de pêche et les limites de prises.
http://www.mrnf.gouv.qc.ca/publications/enligne/faune/reglementation-peche/

Navigation

Une nouvelle règlementation fédérale pour l’équipement sécuritaire et le permis d’embarcation de loisir fut publiée le 12 mai 2010. Pour savoir comment ces nouveaux règlements peuvent vous affecter, nous vous
recommandons de vérifier ces informations en cliquant sur les mots ci-haut (ou de consulter: Transport Canada, Bureau de la sécurité nautique au http://www.tc.gc.ca).

Ours


Le territoire de notre lac est aussi un habitat naturel pour les ours noirs. Suivez attentivement ce qui suit pour éviter de les attirer :

Sortez vos ordures, seulement le matin de la cueillette et non pas le soir précédent. Si c’est impossible, sécurisez vos contenants de façon à ce que les ours ne puissent avoir accès aux déchets.

Reconnaissez que les mangeoires d’oiseaux peuvent attirer les ours, et

Éliminez, après chaque utilisation, les graisses et les résidus de nourriture du gril et du réceptacle de gras situé en-dessous de votre barbecue.

Alors que la chance de voir ou de rencontrer un ours noir est faible, il est préférable d’être préparé. N’approchez jamais d’un ours; gardez votre regard fixé, reculez lentement, et surtout, ne vous retournez
pas et vous mettre à courir. Dans une situation d’urgence vitale, appelez le service de police local ou signalez 911. Des informations supplémentaires sont disponibles sur un site du Gouvernement du
Québec à : http://www.mrnf.gouv.qc.ca/publications/enligne/faune/reglementation-piegeage/regles-generales/ours.asp
et sur un site gouvernemental ontarien à: http://www.ontario.ca/bearwise.

Castors

Castors:
La plupart des années, l’activité des castors affecte le niveau des lacs. L’Association n’est pas responsable de l’élimination de leurs barrages mais – suivant les circonstances, – quand ceux-ci élèvent le niveau d’eau à un point tel que les rives et les propriétés avoisinantes sont endommagées (eau dans les sous-sols…), que les déchets des fosses septiques se déversent dans le lac et augmentent le taux d’E.coli parce la nappe phréatique est atteinte, l’Association peut aider la personne dont la propriété a été affectée. Quand les castors causent des dommages aux arbres, aux constructions d’abri, etc. sur une propriété privée, l’Association peut recommander une aide professionnelle (trappeur) pour aider le propriétaire à se débarrasser des castors. Notez qu’un permis du Ministère des Ressources naturelles et de la Faune est requis pour démanteler un barrage de castor et abaisser le niveau de l’eau. Pour de plus amples renseignements, cliquez sur le site du Ministère des Ressources naturelles et de la Faune:
http://www.mrnf.gouv.qc.ca.

Héron bleu

Consultez http://www.mrnf.gouv.qc.ca/publications/héronbleu pour de plus amples informations sur les hérons.

Huard commun

Bien que le cri obsédant du huard fasse partie intégrante de nos souvenirs du lac Sinclair, cet oiseau aquatique a plusieurs autres caractéristiques intéressantes.

Origines:

  • La famille des huards est l’une des plus anciennes dans le monde des fossiles, datant de 65 millions d’années(les moineaux, en revanche, n’en sont que de 2 millions d’années.
  • Une légende huronne présente le huard portant du sol dans son bec pour reconstruire la terre après le déluge.
  • Le huard commun est le plus grand des cinq espèces de huard dans le monde entier, les cinq espèces se produisant au Canada.

Apparence:

Le mâle et la femelle ont une apparence similaire. En été: un patron blanc-damier sur son dos noir; un bec noir très pointu; une tête noire et le cou avec un col strié blanc; un ventre blanc.

En hiver: grisâtre, avec le cou avant, la poitrine et le ventre blanchâtres; le bec gris. Petits: brunâtre devenant grisâtre; le cou foncé; le plumage adulte vers la troisième année.

Nourriture:

Mange principalement du poisson – une famille en consume 900 kilos par saison.

  • Mange principalement du poisson – une famille en consume 900 kilos par saison.
  • Chasse à la surface avec le bec et les yeux dans l’eau.
  • Capture le poisson en plongeant, propulsé par ses pieds et parfois par ses ailes.
  • Peut plonger à 75 m. pendant 3 minutes, s’il se sent menacé. La plongée dure en moyenne 45 secondes.
  • Capable de se submerger lentement en comprimant son plumage et en vidant ses poumons.
  • Chasse d’autres oiseaux aquatiques de son territoire de pêche, en particulier le grand harle au lac Sinclair.

Communication :

  • Iodle: un gémissement suivi de notes ondulantes est l’appel territorial du mâle. Il est généralement entendu
    du crépuscule à l’aube, au printemps et au début de l’été.
  • Gémissement: ressemble au hurlement d’un loup. Ce gémissement est utilisé par le huard pour chercher son
    partenaire ou ses petits. Il peut être entendu à tout moment.
  • Trémolo: vibration chevrotante. Ce cri d’alarme est parfois comparé à un « rire hystérique ».
  • Hululement doux: utilisé pour rester en contact avec la famille proche.

Habitat:

  • Fréquente les rivières et les lacs d’eau douce d’au moins 5 ha.
  • Préfère la solitude.
  • Déserte les lacs où les pluies acides ont tué le poisson.
  • Passe ses hivers le long de la côte des Maritimes et dans les eaux sans glace des États-Unis.

La cour:

Les huards s’accouplent pour la vie et reviennent chaque année à la zone de nidification dès que la glace se brise. La parade nuptiale comprend l’abaissement simultané des becs dans l’eau, le battement des ailes et la plongée, ce qui est le préambule à la copulation qui se passera sur la terre.

Nidification:

Le nid fragile est bâti proche de l’eau, souvent sur une petite île, parce qu’il est difficile pour le huard de marcher sur la terre ferme en raison du positionnement de ses pieds à l’arrière du corps. Notons, en passant, que les vagues des bateaux à moteur peuvent détruire le nid.

Éducation:

Un huard pond 1 à 3 oeufs qui sont incubés par les deux parents à tour de rôle, pendant 28 à 31 jours. Les poussins peuvent nager et plonger en quelques jours. Souvent les parents transportent les petits sur leur dos
afin de laisser leur duvet sécher. Les jeunes dépendent des adultes pour l’été. Ils peuvent voler 70 à 84 jours après leur naissance. L’apprentissage de l’envol est difficile car le huard doit courir vite et battre des ailes à la surface de l’eau sur une grande distance pour être finalement aéroporté. Une fois qu’il s’est élevé dans les airs, il peut voler à 100 km/h.

Alors, s’il vous plaît, profitez pleinement de la présence des huards cet été! Rappelez-vous de respecter leur désir de solitude, de sorte qu’ils continueront à revenir chaque printemps, nous laissant tous profiter de
leur présence, non seulement sur les pièces de monnaie, mais aussi dans la nature qui nous entoure.

Poisson

Le Ministère fédéral des Pêches et Océans a publié un guide très utile intitulé « L’ABC de l’Habitat des poissons ». Très pertinent pour les lacs, il peut être consulté à: http://www.dfo-mpo.gc.ca/oceans-habitat.

Volaille

Nourrir les oiseaux comme les goélands, les canards et les oies autour du lac peut créer des problèmes, autant pour les oiseaux que pour l’environnement. Ces oiseaux sont mieux avec un régime alimentaire naturel et sain. En outre, leurs excréments peuvent réduire la qualité de l’eau du Lac.

Pour plus d’informations, référez-vous à une publication de la CCN (Commission de la capitale nationale) et Environnement Canada, du Service canadien de la Faune à http://www.capitaleducanada.gc.ca ou à
http://www.cwsscf.ec.gc.ca.

Méduse

En septembre 2007, des méduses d’eau douce ont été découvertes dans le lac Sinclair. Cette variété de méduse n’est pas considérée comme dangereuse pour les humains puisque nous n’avons aucune preuve tangible que ces organismes peuvent pénétrer la peau humaine.

Quand elles atteignent la taille adulte, elles sont environ de la grosseur d’une pièce de vingt-cinq sous. En forme d’ombrelle, elles ont une couronne de tentacules autour de leur bord circulaire. Chaque entacule filiforme se compose de centaines de cellules spéciales appelées cnidocystes qui contiennent des nématocystes utilisés pour capturer une proie. Ces méduses sont généralement translucides avec une teinte blanchâtre ou verdâtre. Souvent, de larges organes sexuels plats (appelés gonades) pendent de la face inférieure de la méduse. Ces gonades facilitent le repérage de la méduse puisque ces organes ne sont pas translucides.

La méduse d’eau douce, appelée Crasdedacusta sowerbyi, n’est pas une véritable méduse comme sa parenté vivant en eau salée. Le Crasdedacusta sowerbyi diffère légèrement de la vraie méduse de mer dans le fait qu’elle a une membrane appelée velum sur sa face ventrale. Cette mince structure membraneuse s’étend vers l’intérieur à partir de la couronne de la cloche. Le manubrium, qui se termine dans une bouche, s’étend à travers un trou situé dans le velum. Le velum est la structure qui classe Crasdedacusta sowerbyi dans une catégorie autre que celle de la vraie méduse, et c’est la raison pour laquelle elle appartient à la classe des hydrozoaires qui inclut l’hydre la plus commune. Par conséquent, Crasdedacusta sowerbyi est une hydre, mais parce qu’elle ressemble à la méduse, alors nous l’appelons méduse.

Cette méduse est le plus souvent trouvée en eau calme. Elle préfère les eaux stagnantes aux eaux courantes. Elle se nourrit de petits animaux microscopiques appelés zooplancton : utilisant ses cnidocystes, la méduse injecte dans sa victime une substance paralysante. Elle peut aussi se nourrir de macro-invertébrés et même de petits poissons. Vivant en colonie de 40 à 50 membres, nous pouvons les voir surtout à la fin de l’été, quand l’eau du lac est chaude. Habituellement, août et septembre sont des mois de pointe pour le repérage de la méduse, parce que l’eau du lac est chaude et que la nourriture est abondante. La méduse flotte ou nage doucement juste sous la surface de l’eau. Parfois, elle révèle sa présence en dérangeant l’eau quand elle arrive à la surface. Dans notre région, les lacs Danford et Cayamant, Gauvreau et des Loups, L’Escalier et Leslie ont déjà reconnu la présence de cette méduse.

Les mines

L’Association continue de surveiller toute activité reliée à l’extraction de l’uranium dans les environs du Lac. L’avis des experts indique qu’il y a peu de possibilités que les récentes activités se développent davantage, car les gisements d’uranium identifiés sont insuffisants pour justifier un développement ultérieur. Certaines informations historiques sont disponibles dans un article déjà paru dans un bulletin ultérieur de l’Association.

Vous vous souvenez sans doute des informations sur les dépôts d’uranium de Hawk à www.sedar.com qui ont dévoilé ses difficultés à accéder aux sites d’exploitation sur lesquels il avait pris une option auprès de l’entreprise minière Globex sur l’île Grand-Calumet. Globex a publié une notice annuelle sur Sedar en date du 27 mars 2008, mentionnant cette prise d’options dans les termes suivants : ‘’ Hawk Uranium Inc a poursuivi ses travaux en 2007 sur la propriété Grand-Calumet, y compris un relevé géophysique aérien, l’acquisition de
terrains supplémentaires et un suivi de projet au sol.’’

Malheureusement, Hawk se voit refuser l’accès à deux sites couvrant une zone historique reconnue comme riche en uranium. À date, les efforts visant à résoudre le problème d’accès se sont avérés inutiles, partiellement à cause du refus du gouvernement québécois d’appliquer les dispositions de la Loi sur les Mines, qui traite de ces problèmes. Globex a accordé à Hawk une extension initiale de 4 mois à la date de paiement mentionnée dans l’entente optionnelle, pendant lesquels ’il tentera de résoudre le problème. Notons le commentaire : ’’…que le Gouvernement du Québec refuse d’appliquer les dispositions de la Loi sur les Mines…’’. Il est donc urgent et de la plus haute importance que la politique gouvernementale actuelle ‘’de soutenir le droit des propriétaires privés de refuser leur consentement à accéder à leurs terres’’ doit s’encoder dans la jurisprudence.

Notons aussi également le ton des commentaires – peut-être suis-je trop sensible – mais je considère que Globex semble un tantinet soit peu indigné par déroulement de la situation. Le Gouvernement du Québec a confirmé sa position concernant le refus de consentir à l’accès de la propriété privé à Écojustice Canada, comme il a été signalé précédemment sur le blog suivant :

http://no-uranium.blogspot.com/

Il a également exposé sa protection de « la politique des propriétaires fonciers privés » sur :
http://www.mrnf.gouv.qc.ca/francais/mines/uranium.jsp#4’’ .